Panasonic DMC-ZX1
Un tout petit appareil photo, qui cadrait avec ma volonté de trouver un appareil de bonne qualité qui puisse être emmené partout.
Un tout petit appareil photo, qui cadrait avec ma volonté de trouver un appareil de bonne qualité qui puisse être emmené partout.
Ah… L’Olympus E-P1. Une sorte de rêve pas tout à fait réalisé. Je rêvais de ce genre d’appareil depuis longtemps, depuis que j’ai pu m’acheter un réflex numérique, probablement.
Car il n’y a pas à tortiller du derrière : un appareil compact sera toujours moins bon qu’un réflex. Pour plein de raisons, notamment parce que le capteur est minuscule et que les lentilles sont petites et peu nombreuses.
Encore Canon… Je n’ai jamais été déçu par un reflex Canon, même si on peut toujours trouver des défauts.
Premier reflex non-Canon… Une petite nouveauté en attendant de voir ce que Canon va proposer comme nouveau reflex, car depuis 2 ou 3 générations, les 350d-400d-450d sont limités dans les ISO. Or c’est un critère important pour moi, et ayant une communion et quelques jours de congés à suivre, je me suis décidé à changer d’écurie pour voir ce que le concurrent proposait.
Superbe appareil compact, avec néanmoins les défauts des compacts. Les critiques ont été dithyrambiques, notamment sur la gestion du bruit et des prises de vue en faible luminosité. A une période (de quelques mois à peine) où je suis resté sans reflex, je me suis penché sur ce phénomène pour attendre avant de ré-investir dans du matériel plus lourd.
Excellent reflex, que des qualités, très rapide, des réglages à foison (pour le style d’image, pour la taille des fichiers enregistrés). Pour des raisons personnelles plus que techniques, je n’ai pas vraiment accroché, et je ne l’ai pas gardé longtemps. Trop gros, pas assez envie de faire de photos, l’impression de gâcher un bel appareil à ne rien faire…
Un appareil bluffant. Pourtant, il n’est pas parfait, comme tous les Panasonic il souffrait de bruit électronique à quasiment toutes les sensibilités, mais j’ai été bluffé par son mode automatique (le mode “IA”), qui le rendait d’un usage étonnamment facile.
Décevant… Après avoir vécu un petit rêve de photographe (avoir un Leica, le D-LUX2), j’ai voulu avoir mieux. Après un examen approfondi des caractéristiques et lecture en long, en large et en travers des différentes revues et tests de l’appareil, je me suis décidé à prendre le successeur du D-LUX2, qui permettait en théorie de monter dans les ISO (de 400 max à 1600 max), d’avoir un peu plus de pixels (ce qui me faisait un peu peur, mais bon), et de profiter de petits réglages et perfectionnements supplémentaires.
Le Canon 400d est venu un peu en réaction aux points négatifs concernant le 30d. Le 30d était lourd, bien que très performant. Donc n’étant pas un adepte de la photo studio, ou tout au moins de la photo posée et préparée, je préférai (et préfère toujours) un appareil un peu plus maniable, quitte à sacrifier un peu sur les performances. Mais sur le 400d, peu de choses m’ont manqué à part évidemment de pouvoir vraiment monter dans les ISO, car si à 1600 ISO (limite maximale du 400d), la qualité s’avérait excellente, impossible d’aller au delà, bien qu’au vu des qualités de l’appareil on pouvait se douter qu’il y avait de la réserve.
Le Panasonic DMC-L1 est un appareil très particulier, à la fois pour la marque Panasonic mais aussi pour moi et pour tout amateur de photo. Tellement particulier qu’il a servi de base au premier reflex numérique commercialisé sous la marque Leica. Il s’agit donc du premier reflex numérique de Panasonic, developpé (je crois) en collaboration avec Leica, qui livrait notamment l’optique (l’objectif) du kit standard du DMC-L1.