Archives févr. 2008

Ranapété

Je conchie les réseaux sociaux, bien qu’on en parle comme d’un progrès. Progrès technique, certainement, mais progrès humain, ça m’étonnerait. Condorcet (quel doux rêveur) voyait l’esprit humain globalement en constant et perpétuel progrès malgré des accidents dans son histoire, le web 2.0 devant faire partie de ces fameux accidents (ça c’est moi qui le dit, Condorcet n’écrivant plus depuis longtemps).

Leica D-Lux III

Décevant… Après avoir vécu un petit rêve de photographe (avoir un Leica, le D-LUX2), j’ai voulu avoir mieux. Après un examen approfondi des caractéristiques et lecture en long, en large et en travers des différentes revues et tests de l’appareil, je me suis décidé à prendre le successeur du D-LUX2, qui permettait en théorie de monter dans les ISO (de 400 max à 1600 max), d’avoir un peu plus de pixels (ce qui me faisait un peu peur, mais bon), et de profiter de petits réglages et perfectionnements supplémentaires.

Canon 400d

Le Canon 400d est venu un peu en réaction aux points négatifs concernant le 30d. Le 30d était lourd, bien que très performant. Donc n’étant pas un adepte de la photo studio, ou tout au moins de la photo posée et préparée, je préférai (et préfère toujours) un appareil un peu plus maniable, quitte à sacrifier un peu sur les performances. Mais sur le 400d, peu de choses m’ont manqué à part évidemment de pouvoir vraiment monter dans les ISO, car si à 1600 ISO (limite maximale du 400d), la qualité s’avérait excellente, impossible d’aller au delà, bien qu’au vu des qualités de l’appareil on pouvait se douter qu’il y avait de la réserve.

Panasonic DMC-L1

Le Panasonic DMC-L1 est un appareil très particulier, à la fois pour la marque Panasonic mais aussi pour moi et pour tout amateur de photo. Tellement particulier qu’il a servi de base au premier reflex numérique commercialisé sous la marque Leica. Il s’agit donc du premier reflex numérique de Panasonic, developpé (je crois) en collaboration avec Leica, qui livrait notamment l’optique (l’objectif) du kit standard du DMC-L1.

Canon 350d

Là on rentre dans la cour des grands. Assez vite, j’ai perçu les limites des appareils compacts (pratiques mais peu performants) et des bridges (plus sérieux, mais limités de par leur construction). J’ai décidé de franchir le pas du reflex numérique à partir du moment où le prix de ceux-ci a suffisament baissé pour devenir “démocratique” (le premier Canon 300d étant un peu trop cher et limité pour moi). Enfin, à plusieurs centaines d’euros le boîtier, ça restait une démocratie de passionnés. J’ai donc craqué pour le Canon 350d, accompagné d’un bon objectif tout usage, le Sigma 18-200 (non stabilisé, ça n’existait quasiment pas à l’époque).

Leica D-Lux II

Un petit bijou… Un (petit) rêve de photographe… Oui : posséder un Leica, c’est pas rien, même si c’est un “faux” Leica car il ne s’agit que d’un Panasonic arrangé à la sauce de la marque à la pastille rouge (notamment pour le traitement des images). C’est un des appareils qui m’a fait la plus forte impression, non par ses performances somme toute banales mais par l’objet lui-même : un très beau boitier argenté, très bien fini, avec toutes les commandes faciles d’accès, et un magnifique écran LCD qui restituait des couleurs d’un ton que j’ai rarement retrouvé sur d’autres marques. Enfin quoi, je prenais des photos avec un Leica, et ça suffisait à mon bonheur !

Canon Ixus 50

Celui-là, je l’ai acheté uniquement à cause de sa taille : c’était l’un des plus petits appareils numériques que j’ai pu trouver, et encore aujourd’hui on trouve difficilement plus petit. Du côté de la qualité, pas grand chose d’impressionnant, juste de quoi faire quelques photos de vacances, encore fois sans que cela soit péjortif mais simplement pour mentionner qu’il ne faut pas chercher à pousser trop les limites et de se cantonner à une bonne lumière.

Olympus mju mini (Stylus)

L’un des plus décevant… Après avoir plongé dans le monde Olympus avec deux appareils qui m’ont plu et permis d’apprendre beaucoup de choses, j’ai voulu reprendre un petit appareil compact (j’en étais au gros C8080) pour des photos simples, et sachant que ce boîtier était tout-temps j’espérai pouvoir le dégainer en toutes occasions pour la petite photo souvenir.

Canon 30d

J’avais voulu avoir un boîtier haut de gamme (pour moi), car j’étais (nous étions) en plein préparatifs de mariage, et je voulais avoir un bon appareil pour ne rien rater de ce moment. En ajoutant un bon objectif (un Canon 17-55 ouvrant à 2.8), je ne prenais pas de gros risques.

Olympus C8080 Wide Zoom

Alors j’ai changé notoirement de catégorie : ayant appris les fondamentaux avec mon C50 Zoom, j’ai voulu avoir mieux c’est-à-dire plus performant et plus solide. Je suis passé dans la catégorie des bridges, mot un peu barbare pour les francophones, mais qui signifie qu’il s’agit d’appareil dont la construction se rapproche des reflex, à la différence (notable) que l’optique est fixe par rapport au boîtier.