12 mars 2018 : mamie
Mes enfants sont une source inépuisable d’admiration béate : je pourrais raconter chaque jour une anecdote les concernant. Tantôt drôle, tantôt émouvante, tantôt surprenante. Ce coup-ci, c’est mamie qui s’y colle.
Mes enfants sont une source inépuisable d’admiration béate : je pourrais raconter chaque jour une anecdote les concernant. Tantôt drôle, tantôt émouvante, tantôt surprenante. Ce coup-ci, c’est mamie qui s’y colle.
Il est des jours particuliers dans la vie des parents, et d’un papa. Je dois vivre ce qui vivent la majorité des papas, mais tout est toujours si différent et plus fort quand il s’agit des ses enfants.
Un appareil bluffant. Pourtant, il n’est pas parfait, comme tous les Panasonic il souffrait de bruit électronique à quasiment toutes les sensibilités, mais j’ai été bluffé par son mode automatique (le mode “IA”), qui le rendait d’un usage étonnamment facile.
J’ai servi douze mois à la caserne Champerret. Là où était basés les engins des 5 morts au feu de Neuilly. Je n’étais pas à la 5, je n’étais qu’un scientifique du contingent (c’est-à-dire un ingénieur) affecté à l’état-major de la brigade. Si je n’ai jamais été au feu (çà n’était pas mon rôle, et je ne sais pas si j’en aurais eu le courage), j’ai entendu des centaines de fois retentir le ronfleur annonçant un départ, et des centaines de fois des hommes en uniforme courir et se précipiter à chaque fois avec la même passion et la même envie de servir et de porter secours, que ce soit pour un renfort incendie ou simplement pour porter assistance à un SDF. Des centaines de fois partir, et revenir.