Canon 350d
Là on rentre dans la cour des grands. Assez vite, j’ai perçu les limites des appareils compacts (pratiques mais peu performants) et des bridges (plus sérieux, mais limités de par leur construction). J’ai décidé de franchir le pas du reflex numérique à partir du moment où le prix de ceux-ci a suffisament baissé pour devenir “démocratique” (le premier Canon 300d étant un peu trop cher et limité pour moi). Enfin, à plusieurs centaines d’euros le boîtier, ça restait une démocratie de passionnés. J’ai donc craqué pour le Canon 350d, accompagné d’un bon objectif tout usage, le Sigma 18-200 (non stabilisé, ça n’existait quasiment pas à l’époque).