Tout n’a pas été rose avec son arrivée, car ce petit gigot plein d’amour et de gaieté a passé le plus clair du temps de son enfance (pas tout à fait terminée à ce jour) à faire pipi en long en large et en travers et à désespérer ses nouveaux maîtres : combien de fois sommes-nous rentrés en découvrant ses bêtises ? Dans ces moments-là, le désespoir vous guette ; mais malgré cela il fut très difficile de résister à sa petite mine de chien battu, oreilles en arrière, attendant la punition (car il sait très bien qu’il a fait une bêtise, au point de tenter à chaque fois de recouvrir ses méfaits par son panier pour tenter de distraire l’ennemi et de détourner son attention) et fonçant dans sa prison une fois les dégâts découverts ?
Sans aller jusqu’à nous vanter, force est de constater que nos animaux sont de sacrés phénomènes, et ce petit nouveau a tout d’une tornade. Pleine d’amour et de gaieté, comme je l’ai dit, mais une tornade quand même. Ah, foutu Cowboy (ça te va bien ce nom, surtout quand tu courrais après les bouses de vache en Géorgie, à la montagne) !